Lire, vivre et rêver

 

 

 

Lire, Vivre et rêver,

Recueil publié aux éditions des Arènes,

2015, 224 pages.

 

 

 

 

 

 

 

 

C’est en me promenant une fois de plus dans les rayons de ma librairie préférée que j’ai dégoté ce petit ouvrage. J’ai craqué sur le titre du livre et sur sa couverture ornée d’une jolie librairie.

Dans ce recueil dirigé par Alexandre Fillon, 21 écrivains racontent leur amour des livres et des librairies. Tour à tour, chacun se confesse sur l’origine de son goût pour les livres et la lecture. Il y a ceux qui ont commencé à lire grâce à la maison de la presse du coin comme Olivier Adam, ou encore ceux qui lorgnaient déjà sur les occasions chez Gibert ou sur les quais de la Seine auprès des bouquinistes.

Chacun y va de son anecdote et chaque petit récit ne donne qu’une envie: pousser la porte de la librairie en question. Ainsi on visite Le Divan, Galignani, La librairie de la Comédie française, Gibert jeune, La Mandragore et bien d’autres. Il y a les écrivains au goût très sûr qui picorent et ceux qui accumulent les livres, dévorant tout et n’importe quoi. Dominique Barbéris m’a donné envie d’aller à Noirmoutier simplement pour me rendre à la librairie Le Trait d’union. On se balade au cœur des villes, petites et grandes, au fil des récits, un livre à la main.

Outre la variété des récits, j’ai pu découvrir des noms d’écrivains qui m’étaient totalement inconnus, comme Sophie Bassignac, José-Louis Bocquet, Bernard Chapuis, Philippe Fusaro, Philippe Vilain, Serge Sanchez ou encore Dominique Barbéris.

Cette anthologie est une invitation à découvrir d’autres librairies, d’autres lieux, d’autres villes: un bel hommage aux livres.

6 réflexions sur “Lire, vivre et rêver

  1. Ce week end avec Adeline nous avons évoqué nos souvenirs d’adolescence lorsque nous passions notre temps dans cette toute petite librairie d’Ambérieu en Bugey. Des étagères en métal alignées remplient de livre jusqu’en haut que l’on ne pouvait atteindre qu’avec un tabouret, un mauvais éclairage et des allées si étroites qu’on pouvait à peine se retourner mais qu’est ce qu’on adorait!
    Tu me donnes envie de découvrir ce livre. *Marie*

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